Sécurité routière : une collection de podcasts qui peut sauver des vies
Avec plus de 450 morts en 2021 (*), le risque routier demeure la première cause d’accident mortel du travail (**).
Notre programme Sécurité routière, qui s’adresse à tous les publics nomades, amenés à conduire un véhicule ou piloter un deux-roues, répond à un besoin massif de sensibilisation et de formation qui entrent dans les obligations règlementaires des entreprises.
« L’employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité […] des travailleurs. Ces mesures comprennent […] des actions de prévention des risques professionnels [et] des actions d’information et de formation. » Article L4121-1 du Code du Travail.
De son côté, le Code pénal (Loi du 1er mars 1994) définit le délit de mise en danger d’autrui et prévoit une aggravation des peines lors du manquement délibéré à une obligation de sécurité et de prudence. Et la jurisprudence est stricte : la responsabilité pénale du chef d’entreprise peut être engagée en cas d’accident, s’il n’a pas respecté ses obligations de prévention des risques professionnels, parmi lesquelles la sensibilisation au risque routier.
Ceci posé, il n’est pas simple pour une entreprise d’envoyer l’ensemble de ses collaborateurs effectuer un stage de conduite en sécurité sur circuit. Pas simple, souvent surdimensionné et assurément très coûteux.
C’est là qu’entre en scène notre programme Sécurité routière, finaliste du « Grand prix de la sécurité routière 2023 ». Une collection de podcast learning en 10 épisodes qui répond à un double objectif : pour tout conducteur, poser les fondamentaux du risque routier professionnel ; et pour les gestionnaires de flottes d’entreprise, diminuer la multiplicité des « petits accidents », souvent sans dommage physique, mais extrêmement coûteux.
Les risques routier : facteurs permanents et aggravants
Poser les fondamentaux, c’est rappeler quels sont les facteurs permanents de risques professionnels au volant ou au guidon : la vitesse excessive, le mauvais temps, le défaut de maîtrise du véhicule ou le biais cognitif visant à considérer que l’on est meilleur conducteur que la moyenne.
C’est aussi éveiller les consciences sur les facteurs aggravants : l’alcool, les produits stupéfiants ou les médicaments psychotropes, l’usage du téléphone portable, sans oublier le défaut d’entretien des véhicules.
Cette série rappelle enfin au conducteur quelle est sa responsabilité civile et pénale en cas d’accident responsable dans le cadre professionnel. Et pose les bases de l’écoconduite, qui permet de réduire significativement (15 à 50%) la consommation de carburant et les émissions de gaz à effet de serre, un sujet qui renvoie également aux obligations RSE.
Vous pourriez imaginer qu’une formation à la sécurité routière en audio, c’est-à-dire sans image, n’est pas très efficace. Paradoxalement, c’est l’absence d’image qui constitue la force de cette série : nos épisodes sont des transpositions fictives de situations réelles, jouées par des comédiens et la plupart débriefées par des professionnels de la route. C’est justement l’absence d’image qui va amener l’apprenant à transposer la situation dans sa propre entreprise, dans sa propre vie, dans sa pratique quotidienne de la route, avec les images qui sont les siennes.
Le succès de Sécurité routière, qui bénéficie d’un taux de suivi de 97% auprès des quelque 2.500 collaborateurs ciblés, ne se dément pas : nos clients saluent le réalisme des scènes présentées, la facilité d’utilisation de cette série de podcast learning (sur le propre LMS de l’entreprise ou sur l’appli tootak), son faible coût à l’unité et la prise en compte de la validation des acquis qui permet de l’inscrire cette série sur les risques routiers professionnels dans le DUER (Document unique d’évaluation des risques).
Pour découvrir Sécurité routière, prenez rendez-vous pour une écoute en direct et une évaluation du coût pour votre entreprise.
(*) Source : Observatoire national interministériel de la sécurité routière
(**) Un « accident de trajet », survenu lors du trajet domicile-travail, peut être considéré comme un accident du travail